Comptes rendus

Hey bonjour à tous!

J’espère que ce Gn vous aura tous plu ^^
Nous vous invitons à venir nous conter les détails de cette mission a travers les yeux de votre personnage ^^

Compte rendu GN : Narvath


Bon je vois que j’ai enfin un peu de répit après cette histoire de dingue, les elfes sont parti, j’en profite pour mettre à jour ce journal.
La guilde des voleurs m’envoi voler le coffre de richesses d’un groupe de soldat en mission diplomatique pour la conquête de la foret d Epône, une terre tenue par les elfes.
C’est une mission périeuse qui a demander bien du fil à retordre à mes supérieurs pour pouvoir me fournir une couverture parfaite afin de m’insérer au sein de leur groupe .
j’ai dû endosser un rôle de messager du roi  nommé Nazath . Un homme chat a été désigné par la guilde pour me soutenir durant les opérations, aux yeux de tous ils s’agira de mon garde du corps .

Pour commencer nous avons pris la route pour le camps des Brocéliand.
Une fois arrivé je pus avoir une entrevue avec les généraux de cette affaire.
Le chef ce nomme Virbrack un espèce de vieux taré qui corrige ses hommes à coups de carreau d’arbalètes ,
et puis têtu comme une mule ,abrutis par toutes ces valeurs brocéliandres .
Il y avait une autre personne qui le soutenais, une scribe du nom d Ygdra, rien que ce nom me donne la nausée cette femme est absolument insupportable
,froide et méprisante par-dessus tout… ces deux la semblaient ce crêper le chignon pour un  oui ou pour un non … c’est à désespérer.
Après une entrevue brève pour vérifier l’authenticité de mes papiers , je fus assigné au poste de lieutenant,
un poste qui allais beaucoup me servir à vrai dire .

Je pu enfin me poser un peu pour récupérer de la route,
un peu plus tard le général distribua les salaires je profita alors de l’instant pour voir ou la caisse était rangée.
il y avait beaucoup de soldats je savais que cette affaire ne serai pas de tout repos il fallait que je prenne le moins de risques possible ,
à savoir éviter tout vol bénin ou tout signe qui trairai mes intentions , je devais me contenter de la caisse ,c’était bien plus sage,
il me fallait également corrompre quelques soldats , une tache des plus difficile .
je me suis vite dit qu’ il fallait que ce soit mon garde du corps qui s’en occupe,je ne pouvais pas me permettre de me dévoiler ,
ainsi il s’occupais de corrompre et exécuter mes ordres pendant que je gagnai la confiance de tous en montrant ma loyauté en Brocéliandre
, je pouvais donc couvrir toutes nos opérations .
Assez vites mon acolyte pu convaincre un prisonnier étranger de se joindre à nous , au vu de sa situation je savais que cette homme ne ce retournerai pas contre nous .
Un peu plus tard un tournoi fut lancé je n’y ai pas participé j’aurai perdu bien trop de crédibilité, je ne suis pas un soldat surentrainé .
Au passage j’ai dû me débrouiller pour libérer mon acolyte des fers qui lui ont été posé ,… cet imbécile s’est fait remarquer en provocant Virbrack …
Les elfes sont passé un peu plus tard pour parlementer et je sentais que deux choix m’étaient proposé
,sois je me faisais petit afin de ne pas me faire remarquer , c’est de moindre risque mais ce n’est pas comme ça que je pouvais me laver des soupçons à venir …
du coup j’ai préféré défendre un opinion purement impérialiste Brocéliand pour montrer ma loyauté
je me suis débarrassé de bien des problèmes au détriment de ma relation avec les elfes …
les pauvres, j’ai été une vraie peau de vache pour le coups. Mais je savais que je pouvais me rattraper par la suite en démontrant mon identité,
au vu de mes intentions une coopération pouvais être envisageable.

La journée passa... j'organisai des tours de garde tout ca tout ca, une vie de soldat quoi .
Puis on a reçu un traité proposé par les elfes un peu plus tard,
je laissa les chefs s’occuper de ca je dois dire que je m’en contrefichai pas mal ce qui comptais c’était  la  caisse.
Le temps passais et alors que je rodais autour du campement, un elfe sorti de nul pars nous sauta dessus,
ce vieux chef déglingué fut preuve de reflexes absolument bluffant, l’assaillant fut quasiment instantanément mis à terre
, il s’agissait d’un mercenaire recherché, il avait une sacrée prime sur la tête .
Je laissa les soldats s’occuper de son cas puisque je du accompagner une patrouille. C’est alors qu’on tomba sur des elfes, ils venaient de capturer la mage
, la tension était insoutenable on était planté au milieu du chemin à ne pas savoir quoi faire …
sa sentait l’embuscade a plein nez on voyait clairement les buissons bouger comme si des elfes embusqué se mettaient en position pour attaquer ,
trois femmes aux oreilles pointues se tenaient devants nous, réclamant un échange de prisonnier .C’est alors qu’ une idée me parvint ,
mon rôle de lieutenant me permis de proposé une entrevue non armé dans la taverne afin de pouvoir traiter calmement
,cette requête  fut avec mon plus grand soulagement  acceptée . Ainsi après une demie heure de négociations tendues l’échange eu lieu
, un pacte fut signé et nous avons pu nous en tirer avec quelques avantages .hehe en effet la prime sur la tête de ce mécréant nous fus reversé et ajouté à la caisse,
une aubaine. je ne pus profité de cet instant de joie bien longtemps , en effet le commandant fou de rage revint du camps en jurant et en maudissant ces elfes car les œufs de dragon lui appartenant ont été volé , plus aucune paix n’était possible et ça se lisait dans son regard ,
il était déterminé à passer ces êtres sylvains sur le fil de son épée il comptais les attaquer après le repas .
Nous nous sommes donc assis pour profiter d’un bon repas, c’est avec désespoir que Virbrack vis ces hommes  plier face aux effets de la boisson dont ils avaient abusé.
La plupart des soldats couraient de partout en chantant, ce bâtant et que sais-je d’autre …
bilant des courses plusieurs morts et blessés, un soldat sous les fers ainsi qu’un chat a l’anus dilaté … que c’est navrant.
Alors que je contemplais cette vision du chaos je ne puis que admirer la beauté naturelle de ces charmantes elfettes qui virent profiter de la chaleur de la taverne,
alors que la plupart de nos hommes ne tenaient plus débous … c’est décidé quand je prendrais ma retraite je construirai ma vie auprès des elfes …
j’aurais bien voulu sympathiser mais cela aurais compromis la mission...
Un peu plus tard après avoir remis la troupe d’aplomb une embuscade allait être lancée contre les êtres sylvains sur le chemin du retour.

La nuit tombe et je me sentais crevé, harassé par cette interminable journée, je me retirai donc à mes quartiers est alors qu’un évènement inattendu ce passa.
Un réel messager du roi arriva en pleine nuit ,je savais alors que je n’avais plus beaucoup de temps pour agir ,
Ygdra ce rendis compte que l’un de nous deux étais un usurpateur seulement ils leur étaient incapable de déterminer lequel de nous deux mentait ,
j’ai profité de la fatigue ambiante pour leur jouer de la flute et endormir tous leurs soupçons, au moins jusque a demain, une chance que ce messager ne ce manifestai pas des masses.

Mon repos fut de courte durée en effet durant la nuit une attaque de créatures me sorti de ma torpeur,
tout cela alors que personne ne montai la garde. J’ai cru que j’y laisserai ma peau je fus sévèrement blessé durant la bataille,
mais les compétences de soin de la tavernière eurent raison de ces vilaines plaies.
Au lendemain matin le camps se réveilla et des expéditions furent organisées afin de trouver les camps elfe,
mon acolyte a fait un travail exemplaire il réussit à recruter la mage qui s’avère être une infiltrée, comme c’est intéressant.
Dans la journée nous avons pu trouver ce satané camp elfe mes pieds ne me le pardonneront jamais,
il était protégé par une barrière magique impénétrable nous avons donc été dans l’obligation de revenir au camps.
Alors que nous réfléchissions à un moyen de la traverser nous nous sommes souvenus d’un détail,
dans l’équipe nous avions un muet et grand nombre de doutes soulèvent l’idée qu’il se soit fait soigné chez les elfes.
en l’interrogeant durement nous avons pus découvrir qu’ il détenait un artefact  capable de potentiellement déjouer les défenses elfes .
je sentais qu’il était temps de faire fonctionner cette mutinerie , j’ai coordonné mes actions avec les elfes par l’intermédiaire de mes acolytes afin d’affaiblir  les forces humaines
en effet grâce à mon statuts j’ai pu convaincre mes supérieurs de lancer une petite expédition afin  de vérifier les capacités de cet objet ,
évidement les hommes que j’y envoya étaient majoritairement des miens et les elfe étaient informé de leur arrivé ,une embuscade était prévue .
Cependant ça ne s’est pas vraiment bien passé quelques hommes loyaux on put se tirer de ce mauvais pas et informèrent tout le monde de ce qui c’était passé
perdant la couverture sur les deux tiers de mes hommes.
L’offensive allais être lancée pour éradiquer ces elfes j’en ai donc profité pour leur faussé compagnie et me tirer avec la caisse laissée sans surveillance au camp,
je pris la fuite par les bois. Sur la route je me blessa en tombant sur un rocher ça fait salement mal mais je devais continuer.
Une fois arriver près de la barrière j’ai pu convaincre les elfes de mes intentions, et me voilà au milieu de leur camp la caisse en main sous leur protection .
ma situation ne me permet pas de me battre ils m’ont donc laissé ici à attendre qu’ils reviennent victorieux.
Et voilà le récits de cette perieuse aventure.
Les fonds que me rapportent cette mission vont enfin me permettre de payer la caution de ma coéquipière supposée passer au billot dans deux semaines me voilà soulagé.

PS: désolé pour les fautes , j'ai rédigé juste après être arrivé a Chambéry du coup j'avais un peu de mal a me concentrer ^^

Je ferais la mienne demain, si le temps me le permet ^^

Rapport de la chef d'escouade Samýa Thinùviel, à l'attention du chef de l'armée sylvestre de Lothambyëe.


Général,
Moi et mon escouade avons été envoyés en mission à la frontière du royaume, dans la forêt d'Epone, dans le but de repousser l'invasion présumée de l'empire Broceliand. Je vous adresse donc présentement mon rapport de mission.

Nous sommes arrivés en fin de matinée à l'orée du bois d'épone, moi et mon escouade (ainsi que quelques mercenaires compatriote ou non), et avons rejoint en ce lieu la gardienne des lieux: la pretresse Nerwen. Elle était accompagnée de l'ambassadrice des elfes de lune, Elenwë, ainsi que d'un renégats broceliand qui avait une dette à payer envers elle. Malgré mon manque de confiance envers ce dernier nous avons progressé dans la forêt pour accéder au camp, récapitulant les termes de la mission sur le chemin. Une fois arrivée nous avons envoyé les deux humains qui nous accompagnés chercher du bois et s'occuper de quelques tâches ingrates de façon à les éloigner. En effet, ils ne devaient en aucun cas nous suivre car nous sommes aller auprès du grand arbre du dieu Mellorn pour aller prier, et réclamer son aide et son soutien durant ces temps dangereux. Cela a semblé marcher car la magie du dieu de la nature nous a tous emplie de sa puissance, nous conférant vitalité et puissance à l'arc. Ceci fait, nous avons envoyés les archers chanter pour acquerir leur arc, puis aller chercher les brassards de tissus enchantés necessaire pour traverser la barrière magique entourant le camp, que Nerwen et moi même établissions à ce moment. Par la suite nous avons finis les préparations du camp, l'installation, mais nous ne pouvions finir car il nous manquait outils et combustibles pour le feu. C'est pour quoi nous avons du aller au village pour acquérir le nécessaire.

Nerwen, l'archère Luthien, le mercenaire Lyam et moi-même avons donc rejoint la taverne du village, en incognito, pour acheter le necessaire. Nous en avons profiter pour nous désaltérer car le temps était bizzarement éclatant et chaud (contrairement aux prévisions des mages de la capitale, je vous laisse leur en toucher deux mots). L'établissement était entièrement occupé par ses humains, braillants et buvants comme des dépravés. Leurs regards noirs ne lachaient pas nos visages encapuchonnés, murmurants de façon peut discrète leur soupçons sur nos identités. Nerwen renvoya Lyam et Luthien au camp, avec les ressources achetées, et avaient pour mission de nous renvoyer l'ambassadrice lunaire pour tenter une discussion diplomatique. J'imagine d'ici votre visage perplexe: j'ai bien dis diplomatie. La gardienne insista pour que cela se fasse, alors qu'il est bien connu que Brocéliandre ne négocie pas, mais malgré mes avertissements elle ne céda pas. Quand Elenwë arriva, portant notre étendard, nous allâmes la rejoindre pour entrer en contact avec le général Brocéliand, un certains Virbrack... rien qu'un sale putengeois! D'un manque de zèle évident il ne comprenais pas pourquoi la gardienne réclamait un pour.parler et si leur scrib et leur messager n'avait pas insister pour accéder à notre demande, il aurait lacher tous ses animaux sur notre petit trio diplomatique!

Bref, nous avons donc rejoins la tente de commandement pour discuter, mais bien entendu c'était en vain. Personne n'écoutait les conditions des autres, les insultes et provocations volaient dans tous les sens, j'ai cru que j'allais sauter à la gorge du général ennemi, son rouge me tapant sur les nerfs, mais selon les voeux de la gardienne je suis restée sur place, la scrib avait un ton autain et désagréable et le messager semblait tout faire pour s'attirer les faveurs de son supérieur, c'est pourquoi je me suis un peu laissé emporter sur lui lorsque j'en ai eu l'occasion, mais la gardienne m'a vite rappelée à l'ordre. Nous avons longuement "discuté" mais nous sommes finalement partis avec un résultat qui me semblait évident depuis mon arrivée ici: c'était la guerre. Nous sommes miraculeusement arrivé au camp sans conflit externes, nous avons fait notre rapport à nos subordonnés et avons lancés des patrouilles d'espionnages, des missions de préparation du camps et surtout une mission de sauvetage! En effet, Nerwen à réussi à entrevoir trois oeufs de dragons dans la tente du général, et ne pouvant laisser de tels créatures mystiques et pures au mains de gens corrompus comme les humains, nous avons envoyés Luthien, sa jumelle Tàri et Lyam récupérés ses précieux éléments. En attendant, nous avons écrit un traité de cessez-le-feu avec Elenwë et Nerwen car plus tot, a la taverne, leur scrib (la fameuse Ygdra de l'ile de Tyekanik, on en parlait a la caserne la dernière fois) nous avait contacter pour essayer d'éviter un massacre. Si nous lui apportions un traité convenable, elle essayerait au mieux de convaincre son chef de le signer. Peu après, sur le chemin, nous avons rencontré un muet broceliand qui nous offrait son aide si l'ambassadrice le soignait, ce qu'elle fit. Seulement, lorsque nous nous appretions a apporter le traité au village, nous avons croisés une patrouille humaine sur le chemin. Nous avons vite fait un otage (qui était en fait notre agent infiltré dans leur camp, Anarhìth), et avons tenté de négocier une fois encore, mais l'atmosphère était tendue. Les soldats humains nous ont alors appris que Lyam avait étét capturé, Nerwen est donc aller avec ELenwë encore une fois discuter de façon diplomatique pour tenter un échange d'otage. Je la suivie avec l'otage, l'onodrim alliés et le brocéliand renégat.

Au bout d'une demi heure de parlotte, nous les avons rejoins et sommes tombés d'accord: l'échange d'otage se fit, le traité fut signé en échange de quelques pièces supplémentaires. En attendant, je suis allé semer le doutes auprès des soldats brocéliand qui, apparement, ne savait pas tous ce que savaient leurs supérieurs comme notre monopole du point d'eau, ou l'existence d'un trésor laissé en foret. Nous repartîmes, en paix, avec Lyam. Au passage Luthien et Tári avaient récupérés les oeufs, et Lyam avait volé et revendu la hache du général humains. Nous sommes revenus plus tard pour manger à la taverne, constatant avec lassitude le comportement navrant des humains fasse à l'alcool, et le général adverse calmant ses hommes à coup de carreaux d'arbalète (si, si, je vous assure...). Après un bon repas, la nuit tomba et nous allions regagner notre camp mais nous fumes aggressés sur le chemin par ses sales putengeois, qui brisèrent le traité sans ménagement. Le traitre broceliand mourut, il y eut beaucoup de blessés mais nous réussîmes à prendre la fuite. Nous nous sommes soignés au camps, et avons organisés les tours de gardes mais des créatures de la pénombres nous ont attaqués vers 4h, ils firent beaucoup de dégâts mais furent repoussés. Plus tard dans la nuit j'entendit des soldats parler d'un étrange rêve où une mêlée générale entre brocéliandre, des mercenaires et nous meme bataillons et que personnes n'en sortaient vivants. Racontés de cette façon cela semblait tellement réaliste...

Le soleil se leva... L'aube d'une journée difficile. Nous allâmes à la taverne pour nous ravitailler et une sorte de chat humanoide (que j'avais abattu la veille, mais apparement les chats ont plusieurs vies...) m'intercepta pour me parler: il m'informa qu'une rebellion était en cours de préparation chez les hommes, et il me proposa un accord que j'accepta. En echange de la caisse d'argent de broceliandre ils nous aidaient à renvoyer ces sales mortels hors de nos frontières. Nous avons donc complotés pour organiser des embuscades sur le chemin de leurs patrouilles. Un féroce bataille se déroula en foret, ou l'on découvrit l'existence d'un artefact pouvant briser la barrière (il faudrait d'ailleur se renseigner sur un tel artefact). Pourtant nous avons réussi à bloquer leur avancée et a nous réfugier derrière nos barricades. Les rebelles brocéliands nous y ont rejoints, ainsi que le messager (lieutenant) sur lequel je m'étais énervée la veille. Il était blessé et dit qu'il comptait trahir l'empire dès le début, mais j'eut du mal à lui accorder ma confiance. Une fois restauré nous avons rejoins la grande prairie entourant le village: les humains étaient prêt, revigaurés et parés pour la grande bataille finale. Après un cris de guerre pour notre bon royaume et une charge de la part de nos forces, nous sommes entrée dans une mêlée générale qui se termina sur notre victoire, de peu. Heureusement pour nous certains de leur soldats sont rentrés en mode berserker au moment de la bataille, se retournant parfois contre leur camp: cela nous à donner la victoire. Les forces brocéliande ont donc été repoussée, la forêt d'épone est sécurisée et le dieu Mellorn est toujours bien portant:nous venons d'éviter une catastrophe qui aurait put dévaster le monde d'Algaroth.

Je vous remercie d'avance de faire part de mon rapport aux gardiens de la capitale, et de leur signaler que l'escouade envoyée était bien peu face au danger auquel nous faisions face. Je n'aime pas l'admettre mais nous avons de la chance cette fois-ci, et si les gardiens ne se soucis plus de notre grand dieu de la nature c'est que le peuple sylvains lui même est en train de sombrer.

Je vous adresse mes sincères salutations, et vous assure de venir vous saluer à la caserne, une fois rentrée à la capitale,
I Edelhie enwe vanya

Chef d'escouade, Samya



Hors RP: Et oui, je sais, un véritable pavé xD
J'espère que d'autre seront motivés pour mettre leur avis (d'après les yeux de leur perso comme l'a dit Narvath), mais bien sur ce n'est pas obligé d'etre un roman ^^

Journal d'Hornarwin, 1ère entrée.

     Eh bien voilà, c'est fait ! Cela a bien pris 5 ans... mais l'armée de Brocéliandre m'a enfin octroyé une place parmi une nouvelle escouade, regroupant certains de mes anciens collègues. Je ne sais pas encore comment le prendre, je suis mitigé entre le dégout de n'avoir été renvoyé en quête que si tard... et la joie de repartir à l'aventure. Nous avons pris différentes embarcations pour arriver sur la forêt d'Épone... dont je n'ai eu aucune information, apart que cette forêt nous appartenait jadis, et qu'il fallait la reconquérir.
     Ceci dit, quelque chose m'intrigue spécialement. Dans le message... on parlait clairement d'elfes. Cette civilisation que je prise tant... et ce peuple que je n'apprécie pas pour autant (bon... je pense que c'est compréhensible... après que l'on m'annonce que des elfes ont massacré mes parents... et que la seule chose qui a été retrouvée près des restes des charognes de ces crapules était une lame elfique. Depuis ce jour, je me suis promis moi-même de massacrer chaque elfe responsable de ces assassinats, et je ne sais pas pourquoi, mais je crois bien que ces elfes qui nous ont dérobé la forêt pourraient très bien en faire partie, je n'aurais donc pas de pitié). Malheureusement, un imprévu s'est déroulé, mon embarcation a pris du retard, et j'ai dû arriver un peu en retard... obligeant à faire attendre toute cette nouvelle escouade près de l'entrée de cette forêt mystérieuse. Je pense bien continuer à écrire dans ce journal... ça pourrait m'être utile pour ne pas oublier les événements passés durant cette expédition, et puis... cela pourrait être frachement utile pour rédiger mon rapport de fin d'expédition... si elle a une fin.

Journal d'Hornarwin, 2nd entrée.

     Je dois dire... que quand on m'a présenté cette escouade... je ne m'attendais pas du tout à ça. Pour être bref, j'ai eu mes retrouvailles avec Ygdra, mon ancienne général sur Tyekanik (bien qu'aux ordres de la Noble) que je n'apprécie pas plus que je ne l'exècre (après tout c'est ma supérieure, je trouve ça bien normal qu'elle soit pénible, même si je pense que c'est plutôt son caractère qui me gène.) et... malheureusement - et c'est bien à ce moment que je remarque que l'Empire m'en veut vriament - je vais devoir me farcir la compagnie de Dracus, mon très chèr Dracus... cet espèce de vieille tortue amorphe qui m'a ôté l'une de mes fonctions d'être humain, la voix. Bon... j'ai plus rien à craindre maintenant, j'ai reçu de l'armée l'obligation de m'occuper de porter ses armes (en effet le port d'arme lui a été enlevé, suite à ses actions sur Tyekanik) mais bon, je dois bien dire que Brocéliandre ou pas, il m'a trahit, et la trahison ne se guérit que par la mort, mort que je souhaite bien évidemment lui donner, et je garantis qu'il n'en aura aucun plaisir.
     Hormis ceux-là, j'ai été envoyé avec une belle bande de bras-cassés. Un "général" dont je n'ai jamais entendu le nom, mais qui aurait soit disant fait parler de lui, il est vieux, radin, pervers et foutriquet dont je m'interroge déjà sur ces intentions envers Brocéliandre, est-ce qu'il souhaite juste regagner ces terres... où tuer tout le monde pour "s'amuser" ? J'ai aussi fait connaissance avec un mage aux capacités imprévisibles, un certain soldat... ou mercenaire, je ne sais même pas, ayant un fort accent, un soit disant assassin (du moins c'est ce que ces habits laissaient à désirer) qui aurait - encore une fois - soit disant massacrer une horde entière d'orcs... un certain intendant (c'est ce que j'ai crû comprendre, je ne lui ai toujours pas addressé la parole - comme si je le pouvais de toute façon - il est le seul qui m'inspire un minimum de confiance) qui se fait accompagner par un chat... un borgne complètement hébété et une prêtresse... ou guérrisseuse... apothicaire... enfin, une femme qui se cache derrière une cape, et dont on n'a jamais vu autre chose que le visage ou les jambes. Avec ça, comptez un prisonnier (sérieusement... on nous envoie en territoire supposé être hostile avec un prisonnier ? J'ai l'impression que l'on nous a pris pour des moins-que-rien et que l'on nous envoie à notre mort, tout simplement. Oh ! J'allais oublier ! Nous avons aussi compté sur la compagnie d'un fort effrayant homme, déterminé à porter son masque jusqu'à la fin des temps... et il n'a pas l'air ridicule pour autant.
     
Journal d'Hornarwin, 3ème entrée.

     Comme pour confirmer ma thèse... cette ordure de général m'envoie dès le début de notre approche vers le village, sur un certain objet posé au sol. Et... je vois bien qu'il a plutôt dû avoir le nez ailleurs que sur ses rapports de l'Empire, vu que Ygdra a dû lui expliquer que j'avais perdu fonction de ma voix. Nous avons rencontré une taverne pas loin du village, ils n'avaient pas l'air du tout hostiles, je compte bien y aller pour me distraire un peu et oublier dans quel pétrin je suis. J'ai passé peu de temps à m'entrainer, à la capitale, j'ai commencé à perdre l'envie de voir des habitants, d'être confronté à ne pouvoir que mimer mes paroles, alors vous n'imaginez même pas, vous qui lisez ce petit carnet, la galère que j'ai pour tout ce que j'essaie de dire, par exemple, pour demander ne serait-ce qu'un verre d'eau, il faut compter pour au moins trois minutes.
     J'ai eu le droit de choisir mon habitation, j'ai pris celle qui m'avait l'air en assez bon état, soit la rouge, et j'ai plus tard sû que c'était la tente de ce mystérieux intendant et du prisonnier... j'aurais pû faire mieux pour choisir, m'enfin, je ne compte même pas y rester... je ne compte pas plier face au sommeil.

Journal d'Hornarwin, 4ème entrée.

     On nous a conviés à un tournoi, afin de former une troupe d'élite. Mes prouesses à l'épée sont encore incertaines, je ne me suis pas battu avec une vraie personne depuis Tyekanik, et je sens vraiment que je vais massacrer ce "Vibrack" il m'a fait combattre l'autre pourriture de démon là, Dracus il me semble, comment est-ce que j'étais censé pouvoir penser à gagner... cette saleté là, avec son épée qui fait deux bras de plus que moi... sans compter sa taille colossale... je me suis fait déchiqueter, j'ai même eu le droit à un plat d'épée à l'oreille, ça m'a sonné quelques minutes, assez pour lui permettre de gagner le combat.
     C'est à ce moment là, que nous les avons vus pour la première fois, 3 elfes... enfin ! depuis tout jeune que je voulais en voir ! que je voulais en massacrer. Puis, tout en gardant mon anonymité, j'ai pû les observer, les écouter... et... c'est à ce moment que je me suis rendu compte du retard de nôtre civilisation, nous sommes clairement inférieurs, et ces elfes qui ont tué mes parents... (ou du moins c'est ce qui en est passé pour dit) je ne crois plus qu'ils soient d'ici, au plus exact, ils ne devaient pas dépasser les 25 ans, et ceux-là... ils se vantaient d'avoir plus de 500 ans ! C'est plutôt incroyable.
Je les ai suivis jusqu'au camp, méfiant comme je suis... et j'ai pû écouter leur tentative de diplomatie, de toute façon... s'ils ne m'ont pas éloigné, c'est qu'ils savaient qu'ils n'avaient rien à craindre avec moi... après tout à qui suis-je censé pouvoir en parler... je suis muet et le reste de mon escouade a l'air totalement décérébré, hormis un ou deux qui n'étaient pas analphabètes. Étant autorisé à aider Ygdra, elle me laissa lire ses notes, et ... je vois que finalement elle pense comme moi, ce général, il fait échouer toute sorte de diplomatie et ne souhaite que notre mort, à tous, enfin, non, celle des elfes, mais il les sous-estime, et c'est plus que visible.
     La prêtresse, qui jusque là, prétendait avoir les compétences requises pour me soigner de ma maladie - et non, je ne savais absolument pas que je pouvais être guéri - m'a informé que malheureusement, il n'y aurait qu'un elfe puissant qui pourrait me soigner totalement, et qu'il n'y aurait aucun autre moyen de m'y résoudre. Je pense donc profiter de la prochaine mission de reconnaissance pour en rencontrer un, je vais laisser mon journal visible quelque part, je ne sais pas si je vais revenir.
Si jamais il arriverait que je meure, s'il vous plait, exercez mon dernier voeu, et tuez Dracus.

Journal d'Hornarwin, 5ème entrée.

     Ça a marché ! Je peux à nouveau parler ! Mais je dois le cacher pour l'instant. Alors que nous avions été envoyés en mission d'exploration, comme prévu, j'ai décidé de partir en éclaireur, et ça m'a permi, grâce à mon écoute qui s'est largement développée, (passez plusieurs années à l'ombre chez vous, vous comprendrez ce que ça donne) de réussir à entendre des paroles elfiques. Tout en restant le plus discret possible, je m'en fut vers Ygdra demander l'autorisation de parlementer avec les elfes, au risque de ma vie. Nous nous étions mis d'accord, nous ne devons pas suivre les ordres de ce vieux borgne de général, il faut en parler aux elfes, mais en vrai, je la soupçonne de collaborer avec eux, ce qui n'est pas peine perdue, je les estimerai bien plus puissants que nous.
     J'ai été pris en escorte par la prêtresse mystérieuse, je lui ai donné ma corne, et lui ai ordonné de sonner l'alerte si jamais quelque chose se passerait de travers, après tout, nous aurions ainsi trois elfes sous la main... ! dont deux qui sont ceux que j'avais vu un peu plus tôt, ce qui symbolise leur puissance. Après avoir offert ma reconnaissance envers eux - car oui, j'ai du le faire, si je voulais un jour avoir la pensée même de me faire soigner - et leur avoir laissé Fern, ma lame elfique, dont le nom signife ce qui est mort, j'ai eu le droit de m'expliquer par écrit à leur doyenne. Bien qu'ils eussent hésité un long moment, ne sachant pas quoi m'exiger en retour et craignant que je les trahisse et les attaque, nous avons du parvenir à un accord. Oui, ils me guériraient, mais en contrepartie, je n'aurais plus le droit de créer une effusion de sang à un de leurs elfes, sous peine de me voir atteint de Lèpre. J'ai bien évidemment accepté... après tout, qui croirait à leurs balivernes, hein ? comment pourrais-je attraper cette maladie si facilement ? Eh bien détrompez vous, lorsqu'après que j'aie bû leur soit disant potion (c'était sucré, et l'on pouvait distinguer des résidus de plantes diverses) ils m'ont prévenu que ma voix ne reviendrait pas de si tôt, qu'il faudrait attendre un peu

Journal d'Hornarwin, 6ème entrée.

      Sur la route du retour au camps, j'ai réfléchi... La prêtresse là... elle aurait très bien pu me balancer aux autres...  ! Je ne peux donc pas revenir au camp, comme si rien ne s'était produit... enfin, techniquement je le pourrais, mais ma décapitation ne serait que trop rapide. Je refuse d'affirmer que je suis de mèche avec les elfes... après tout ce sont eux, cette race, qui ont massacré ma famille. 
      J'en ai donc résout de revenir tranquillement jusqu'à être au champ de vision de mes semblables et une fois cela fait, je me mettrais à me comporter comme un ivrogne, à la seule condition que je n'avais pas bu, et que je souffrirais de déshydratation (Eh mais franchement, réfléchissez-y, c'était une super bonne idée ! La preuve, je suis encore en vie - les fers à la main certes, mais en vie - et qui plus est, j'ai eu le droit à deux chopines d'eau gratuites !
      Ils m'ont envoyé au camp, j'ai reçu des injures de "traître", "bourré", "drogué", "ignoble", et je ne pouvais que m'efforcer de ne pas faire un mot, ça dévoilerai mes agissements. De tout façon, je n'avais pas encore véritablement récupéré la parole, je vous assure qu'après passer autant de temps avec la bouche fermée, articuler n'a pas été mon fort. Pendant que l'on m’interrogeait, un fou suicidaire - un elfe quoi - s'est jeté seul dans une mêlée contre le camp entier. À ce moment, les prouesses de guerre de Vibrack, l'autre enflure, m'ont été démontrées. L'elfe ne fît pas long feu... en même temps... avec des coups de hache violentées comme celles-ci je me demande si son estomac serait encore viable.
      Je ne peux que le remercier, car il m'a permit de fuir l'interrogation, et m'a mit sous le joug d'Ygdra, mon ancienne générale. C'était bien la seule personne en qui j'eusse le minimum de confiance... en effet, les elfes m'avaient parlé de celle-ci pendant que l'on me soignait, et je me suis donc dit qu'elle était de mèche avec eux... c'est donc la seule qui pourrait m'éviter de disloquer mon cou et ma tête.
      Alors, j'appris, en me baladant dans le campement, que nous avions fait ôtage de cet elfe fou, et que les elfes aussi nous avaient kidnappé un de nos soldats, la prêtresse, qui voulait me soigner un peu plus tôt. J'en ai profité, alors que tout le monde croyait que j'était "drogué" pour déchiffrer une énigme. Je leur ai montré ce que je fesais, mais ils n'ont pas eu l'air d'en montrer la moindre importance. Seule Ygdra est venue m'inspecter, ce n'était pas pire, j'aurais bien préféré être seul dans ma découverte, mais sa présence ne m'était pas offensive. Je découvris, après 25 minutes de déchiffrage (autant que leur négociation) qu'un certain artefact serait dissimulé pas loin de la Taverne, et qu'il renfermerait un pouvoir mystérieux (enfin, ça ce n'était pas écrit, ça parlait carrément d'un trésor/artefact, mais pour qu'il soit dissimulé et disponible que pour ceux qui auraient déchiffré le message, il s'agissait forcément de quelque chose d'important, non ?). La seule personne ayant été mise au courant étant Ygdra, j'ai décidé de garder l'objet sur moi, dans ma capuche, pour plus de sécurité. La nuit vient, et il commence à il y avoir une ambiance plutôt étrange.

Journal d'Hornarwin, 7ème entrée.

      Pfff... je ne sais pas quoi dire... j'ai mal à la tête et je ne comprends plus rien... la nuit est venue, on a fait quelques tours de garde... enfin, ces imbéciles que nous avions pendant le tour de garde s'amusaient à partir vers la Taverne... ! On se demande pourquoi ! De plus, lorsque l'on leur a dit qu'ils étaient censés protéger le camp, il se sont mis à discuter en faisant des tours autour de notre campement... en parlant si fort que j'ai décidé, avec le nouveau messager du roi (à ce qui parait il en faut deux ?) de prendre notre tour de garde.
      Tout était calme, on ne craignait plus rien. Je m'étais endormi, tout le monde s'était endormi, j'avais l'artefact à la main... quel danger ! Seul au milieu du sol du campement, l'artefact non protégé ! Quelque chose de grave aurait pû se passer... !
Remarquant que j'étais seul, et que j'avais froid, j'ai décidé d'aller me réchauffer avec le feu... qui s'était éteint... ! Mais que s'est-il passé ? on nous a jetés un sort de sommeil ou quoi ? À peine ai-je eu le temps de raviver le feu, que l'intendant et le général refirent surface... génial, je vais surement me faire massacrer... et surtout que nous avions planifié toute la nuit son assassinat... et que le seul n'ayant pas été mis au courant était le lieutenant... Je trouve vraiment que nous fonçons dans le gouffre avec ce "général", il faut l'éliminer... ! Il entrave notre succès ! Il compromet la mission !
      Le chat et le nouveau messager se sont réveillés, il entreprit d'investiguer autour du camp, et... avec plus au moins de succès, il lâcha un "Ils sont là !" plutôt fébrile. Je me suis retourné, les ayant remarqué, j'ai décidé de me lever le plus vite possible, le chat déguerpit si vite que je ne l'eu remarqué. Mes muscles étaient gelés, et à ce que je vois, ça c'est remarqué... ! À mi-hauteur, je me suis pris trois violents coups dans le dos... avant que quelque chose ne distraie ce qui m'attaquait (je n'ai vu que des os et de la fourrure, et cette chose se déplaçait à une vitesse fulgurante !) Je me suis jeté au sol, je n'avais pas mon épée à la main... ! ni au fourreau ! Mais qu'est-ce qu'il s'était passé... ! J'ai vu tour à tour tout le monde s'effondrer, ou bien rester à roupiller tranquillement dans leurs coins... puis la prêtresse, indemne, m'a soigné mon dos, et je pu me relever. Mon épée avait été posée dans la tente de commandement, à ce qu'il parait, elle était au sol, et on craignait de se faire mal en ne la voyant pas... ! Sérieusement ! Je l'avais posée là pour un motif valable ! C'était le seul moyen rapide d'avoir accès à mon armement... !
      Face à cette grosse défaite, nous nous relevâmes, sans toujours savoir ce qui nous avait attaqué. Nous étions maintenant sur nos gardes, plus que jamais, trois hommes embusqués dans la forêt, j'ai demandé le commandement, que j'ai reçu. Notre lampe... notre source de lumière s'est malheureusement épuisée... nous jouions avec les ombres, une brillante stratégie. Soudain, un trou noir, nous avons surement reçu un rêve à présent... nous nous combattions hors du camp, loin, et des compagnons mourraient... moi-même me voyait glisser et me faire assassiner par cette même chose qui m'avait presque tué plus tôt... au réveil, tout le monde parlait de cet étrange rêve... et nous avions eu une perte.
      Bordel, qu'est-ce qui s'est passé ? La seule qui a l'air indemne est Ygdra, qui réclame ne rien avoir vu ni entendu (en même temps vu comment elle ronflait ça ne m'étonne pas pour le moins). Bref... il est temps de se bouger, on a parlé de l'assassinat de l'autre ordure là, et il ne reste pas beaucoup de temps pour agir... je ne sais pas pourquoi, mais je sens que l'on ne va pas survivre longtemps (Peut-être parce que l'on s'est faits poutrer deux foisen une nuit ?) C'est décidé, on va le faire dès qu'il revient... et pour le premier messager du Roi... eh bien on fera ce que l'on pourra, je ne tiens pas à le ménager dans ce conflit.


Journal d'Hornarwin, 8ème entrée.

      Merde, rien ne s'est passé comme prévu. Le Général était de retour, il est ensuite parti discuter avec quelques soldats... C'est le moment ! J'ai prévenu les soldats du mutin, et Léviakian s'est exercé de sa propre initiative. *POC* ... Merde... Il a resisté ???!!! Ce général... sacrée tête de fer... ! Il n'a même pas eu mal et s'est à peine retourné pour clamer un : "Mais qu'est-ce-que vous foutez ?" Et se faire rejoindre par le vieux messager du roi, que j'ai du assommer, puisqu'il se montrait plutôt hostile...
      Soudain, la moitié du camp s'est rebellé...  contre moi bien sur, bande de lâches ! J'ai donc eu le droit de rester au camp et méditer mes pensées... en me faisant interroger bêtement comme un petit garçon... Et tout le monde était contre moi, jouait les innocents.
      Le "prestigieux" Général, a envoyé un petit groupe chercher le camp elfe. Je lui ai dit qu'ils ne pourraient rien faire sans moi ... et ... le général s'est douté de quelque chose - En même temps j'ai été cafardé d'avoir été avec des elfes, donc ce n'est pas vraiment trop étonnant - Il m'a fait fouiller. Dharfen a trouvé l'artefact. J'ai pensé très fort à lui intimer l'ordre d'exploser, mais j'ai vu très rapidement qu'il n'était pas en mon contrôle... mais comment l'activer... !
      Malgré mes messages de danger imminent, d'avertissements, ils sont partis... avant de revenir 5 minutes plus tard... enfin, avant que deux traîtres reviennent 5 minutes plus tard, en disant qu'ils s'étaient fait attaquer, qu'il y avait deux traîtres dans le groupe... et je n'ai pas entendu le reste, j'ai tout simplement dit "Hahaha... haha... HAHAHAHAHAHAHAHAH !!!" Et comme tout le monde était ébahi par le récit de Léviakian, j'ai tout simplement marché jusqu'à la taverne, et je suis allé vers l'endroit de la récente bataille. À peine m'approchais-je que j'aperçu le chat, qui revenait, l'Artefact à la main... c'était donc un des traîtres. Je lui ai dit que j'allais être clément, que si il me redonnait mon appartenance, on partagerai le prix de vente. Il a répondu non... et je l'ai prévenu... ! "Tu mourras bientôt." Il ne m'a pas écouté et a continué son allée au marchand. Je n'ai pas le temps de le tuer tout de suite, je le ferais plus tard.
Je suis arrivé près de l'ancien point d'eau, et j'ai entre aperçu la prêtresse... ! Génial ! Je vais donc la voir, tête baissée, capuche au crâne. Quand j'arrive à portée de main, je les remarque, 5 elfes, dans les bois, leurs arcs bandés sur moi. Je lève les bras doucement et ils m'expliquent la situation. La prêtresse n'était rien d'autre qu'un elfe... une infiltrée dans notre camp... Ordure ! Traîtresse ! Tu n'es qu'un excrément qui a vécu avec les nobles Broceliands... Mais qu'est-ce-que cela fait de moi... de toute façon, je ne peux l'attaquer, je suis condamné à vivre avec les elfes.
Je repars donc vers la taverne, d'où j'écris actuellement, et je compte bien y rester un bon moment, capuche baissée bien sur (cependant la tavernière m'a reconnu, j'ai fait l'erreur de montrer mon visage à un moment... Bah... pas grave... je lui fais confiance... je l'aime bien...)

Journal d'Hornarwin, 9ème entrée.

      Morts. Ils sont tous morts. J'ai aidé la Tavernière à préparer à manger, puis je suis parti me balader, après avoir vu que le camp tout entier était parti en forêt. Je les ai croisés, et grâce à mes compétences de furtivité je suis passé entre les mailles du filet. J'ai fini par me perdre dans la forêt, et entendre des personnes discuter. Alors je me suis approché. Dieu merci c'étaient des elfes... mais... une bonne dizaine d'elfes !! Le chat, la prêtresse, deux mercenaires et l'ancien messager les avaient rejoints... On m'a expliqué qu'il était le chef de la rébellion au sein du camp... et je n'avais fait que l'aider en faisant disparaître tous les soupçons en l'incapacitant... génial... j'aurai été utile. 
Ils m'ont ensuite ordonné de me battre pour eux, les motifs étaient nobles, si les humains triompheraient, toute forme de Nature serait éradiquée. Je suis Herboriste, la Nature est ma vie, je me dois de la protéger... ! Mais, je ne tuerais pas mes alliés pour autant. Pas tous.
Le Chat, le traître prisonnier qui les avait aussi rejoint, le messager, et surtout... surtout... le général, je veux sa tête. Tout est de sa faute. Du moins c'est ce que j'admets, il m'a ruiné ma vie. Je laisserai Ygdra tranquille, je lui en suis redevable, et en mémoire à notre histoire sur Tyekanik.
      Alors, on a croisé les humains, qui s'étaient réquipés avec tout ce qu'ils avaient trouvé chez le marchand.
      GUERRE ! Ils ont crié leur cri de guerre en Elfique et ont chargé, je me suis contenté de marcher, sourir, et rire. J'ai d'abord aperçu le prisonnier, je me suis approché par derrière, avant qu'il ne remarque, et pof, assommé, médusé, une larve par terre, qui va goûter à ma lame, "Fern". Ensuite vint le tour du chat, qui... attaqué par plusieurs personnes par devant n'a pas vérifié ses arrières... Mal pensé... "Je t'aurais prévenu, Chat, maintenant, meurs." Puis j'ai croisé Dracus. Oh oui, lui je veux lui trancher la gorge, pour service rendu. Attaqué par 3 personnes, il a succombé, et je l'ai achevé d'une coupure à la gorge, plus profonde encore que la mienne. Il ne restait plus que le général... et la doyenne Elfique avait eu raison de ses blessures (Est-ce que mon devoir envers les elfes est encore couvert magiquement ? Ou je peux les tuer... ? Je ne sais pas, mais dans le doute, vaut mieux ne pas essayer, de toute façon, nous avons une cible commune). Après un combat acharné, il est mort, royalement, une flamme s'est éteinte, un sourire m'est apparu... j'était heureux... mais tous les Brocéliands étaient morts... c'est terrible... et pourtant je ris... ! Je crois que je deviens fou... ou alors c'est que je n'ai pas aimé leur traîtrise... soit. 

Journal d'Hornarwin, 10ème entrée.

      Bon... les cadavres commencent à pourrir, j'ai faim, on ne mange que de l'herbe, satanés elfes... je vais devoir vivre avec, ils m'ont hébergé, je suis en exil, je ne peux pas rentrer... après ce que j'ai fait.
Le chef de la rébellion s'est tiré, avec la caisse... crotte... j'en aurai bien pris de l'argent...
Bon, je vais devoir trouver un sens à ma vie... Je crois que j'ai un fort sentiment envers une elfe... je ne sais pas s'il est positif ou négatif cependant... on verra bien. J'y suis enfin... j'ai des vrais elfes devant moi et je vais pouvoir voir leur culture... c'est génial... non... ? Hein ?... Personne ne répondra jamais puisque j'écris... personne ne répondra... personne... jamais... parce que... Parce que tout le monde est mort.

J'ai eu le courage de tout retaper !
Je préviens d'avance... ! CE COMPTE RENDU EST À VOIR PAR LES YEUX DE MON PERSONNAGE ! JE NE TIENS À OFFENSER PERSONNE NI INSULTER PERSONNE, VOUS AVEZ ÉTÉ EN MAJORITÉ TOUS COOLS, ET J'ÉSPÈRE VOUS REVOIR AUX PROCHAINS GNS !

Desolé que je met un Wall of Text de mon compte rendu si tard, je n'avais pas beaucoup de temps de le faire récemment. Mais voilá, je vous présente le journal de Wilfred Marklin, décedé le 31 août Anno Domini 2014. (Je suis désole d'avance pour la qualité d’écriture, le français est ma 3eme langue et je n’ai pas un clavier français.)


Journal de Wilfred Marklin, extrait

Entrées n.156-160:

Entrées n.161-165:

Entrées n.166-169:

A l'attention des fréres Marklin:

Bon, je sais j'ai mis mon temps mais voilà.
Compte rendue GN de Xeneres :

Après une arrivé problématique a Brocéliandre en tant que prisonnier, j'ai été envoyé dans cette forêt pour augmenter leurs forces armés.
Je n'ai pas été surpris d'avoir entravé pendant les premières heures sur places par des menottes. J'ai pu donc après mon arrivé faire la connaissance d'un très "plaisant" général borgne à son allure je me suis dit qu'il pouvait être dangereux donc il ne fallait pas l'énerver. Il y avait ensuite un dénommé dratus ou drarus ou quelquechose du genre je ne m'en rappelle pas, il avait l'air aussi dangereux avec son immense épée. Dans la catégorie dangereux, il y avait aussi un lancier portant un masque, une général nommée Ygdra qui avait une certaine influence. Je remarqua par la suite un soldat mystérieusement silencieux, un borgne plutôt bavard comparé au dernier cité, il y avait aussi une personne qui se ventait d'avoir massacré un certain nombre d'orc dont je ne me rapelle point. Il y avait aussi un mage qui devait me surveiller ainsi qu'une magicienne guérisseuse.
Près du campement, il y avait une sorte de taverne où il y avait un tavernier et deux serveurs.
Comme j'étais le prisonnier, les soldat en profitèrent pour me faire faire des tache ingrate. Après cela, le mage qui se chargeait de moi me posa plusieurs questions concernant mon peuple et comme cette homme avait l'air crédule j'ai esquivé ou mentit à ces question pour protéger nos secret.
Plus tard un homme qui était apparemment un messager du roi ainsi qu'un homme-chat, son garde du corps arrivèrent, cette homme chat me proposa par la suite un moyen de regagner ma liberté ainsi qu'un somme d'argent plutôt élever selon ces dire, l'idée de la liberté me plaisait et j'accepta. Il m'expliqua que lui et son supérieur avaient usurpée l’identité du messager du roi et qu'il allaient voler la cassette du camp brocéliandre.
Une petite séance de tournoi commença et je du combattre le tueur d'orc, ma victoire se passera de commentaire.
Par la suite, des elfes arrivèrent et commencèrent a négocier avec les commandants et le lieutenant (le pseudo messager du roi). Je me fichait de ce qui ce passerait je retourna au camp.
Plus tard je partie pour une petite expédition a la recherche des elfes mais ce fut choux blanc.
A mon retour au camp, un elfe attaqua notre général mais grave erreur de sa part puisqu'il fut mis a terre puis capturé, j'appris qu'il était rechercher a ce moment un des mages fut kidnapper, puis une séance de diplomatie cela commença, l'issue fut le retour des soldat dans leur camp respectif ainsi que d'autres arrangement inconnue.
L'instant d'après, le commandant cria a la disparition d’œuf dont l'utilité m'était inconnue. Mais ils devait être important car le commandant était fou de rage et après le repas, si on oublie les problèmes d'alcool, une partie d'entre nous partirent faire une embuscade où les elfes eurent de gros problèmes mais le commandant elfique arriva suffisamment rapidement pour éviter l'annihilation total.
A mon retour, un véritable messager du roi était là, heureusement que ces brocéliandre son de crétin, grâce a cela, mes chance de sortir de cette situation restait haute.
Après cela, au retour du camp, je tomba de sommeil et fut réveiller par un attaque où je me cacha car je n'avais pas d'arme (je ne suis pas suicidaire) après cela, je resta éveillé et sur mes gardes.
Rien de spécial ne se passa en début de mâtiné jusqu’à ce qu'une attaque fut préparé, je compris directement les intentions du faux messager qui prétexta aller chercher un objet oublier au camp je lui fourni alors de l'aide pour trouver et subtiliser la cassette après cela je retourna vers virbrack pour attaquer et expliqua l’absence du lieutenant et il fut laisser sur place.
Lors du contact avec ces elfes, je poignarda l'un des soldat et rejoignit les elfes, après cela, je vis l'homme chat et le suivit jusqu'au camp elfe et attendant le retour des elfes, je lui expliqua le succès du vol.
Peu de temps après, les elfes revinrent ainsi que notre voleur en chef avec la cassette en main.
Une dernière attaque eu lieu vers le camp brocéliandre ou je perdis conscience suite a mes blessures.
Je me réveille dans une salle sombre et humide et j'écris depuis.

Je suis vraiment très en retard pour ce compte rendus avec le plantage double de mon ordis mais le voilà.

Carnet d'Ouroborus, le tavernier de l'auberge de la foret d'épone :

Un groupe de Brocélians est arrivé aujourd'hui. J'aime pas trops l'armé, mais bon, ça fait marcher les affaires. Ils se sont installés derrière mon auberge, et viennent sans arrêt me demander des informations, ou des boissons. Depuis qu'ils sont arrivés des ombres bizarres sont apparut, ainsi qu'un parchemin indéchiffrable. Et les tensions avec les elfes n'ont pas cessé de grandir. Moi qui avait réussit à les mettre en confiance.... Ils ont même fait une réunion diplomatique dans mon auberge..... bonjour l'image. Enfin, il faut encore que je sorte Tibius de prison. Il a du encore faire des siennes. J'espère que l'alchimiste se débrouillera sans moi.

Dire d'un voyageur apeuré :

Il était énorme, poilus et ressemblait à un démon, il venait de tuer ma jument Canelle....la pauvre...... et après il s'est dirigé vers l'auberge de mon ami Ouroborus!!!! J'espère qu'il n'a rien...

Feuille rendus de Reatreche le dryade :

Une menace vient d'arriver sur la foret. Je peux la sentir frémir. Mes soupçons se sont confirmé lorsque la gardienne est venue me chercher. Apres avoir fait la traditionnelle énigme de confiance; je les suivaient afin de combattre la menace... un peuple nommé Brocéliant.
La bataille fut sanglante et sans interruption. Les Brocéliants durent battre en retraite. Malheureusement, je fus tué pendant la bataille et donc réincarné à mon arbre frère.
Néanmoins la menace sur la foret était partit, accomplissant ainsi ma mission de garde.